Puisque voici l'aurore
« Je roule sur les mamelons de mousse, je me rapproche du commencement du monde. Je les vénère sur la margelle au bord du Grand Canal. Nos conditions atmosphériques ne permettent pas d'avoir des tapis de mousses, il nous faudrait beaucoup d'humidité comme au Japon. Mais un oeil avisé les surprend près des points d'eau. Douce vie que ces végétaux si anciens qui résistent au béton. »
A. C.