Sur les questions de l’identité nationale, de l’immigration et de la laïcité, de l’école, du style de vie, de l’inégalité des civilisations, des mœurs, Alain Finkielkraut tient un discours qui tranche sur la bien-pensance ambiante mais qui ne peut être récupéré nulle part. L’essentiel pour lui: le délitement de nos sociétés saisies par le vertige de la nouveauté et de la désidentification. C’est en moderne qu’il parle aux modernes et leur dit : cessez de vous aveugler.