«À lire Georges Perec si souvent, comme aspiré par sa
voix écrite, à absorber sa rage et son besoin d'amour, j'ai
fini par ne plus prêter attention au sens des intrigues proposées
et me suis dépouillé du besoin de comprendre (et
donc de juger) pour m'attacher à la forme de l'écriture...
le style plutôt que la fable. J'ai alors cru pouvoir entendre
un souffle voire une musique du silence chez Georges
Perec, une ritournelle triste qui imprègne ses textes et
qui vocalise la présence fantôme de sa mère.»