« En résumé, mon emploi à Vogue pouvait se diviser en trois volets. D'abord la vie à Paris, sorte de trombinoscope de ceux dont les noms devaient absolument alimenter les conversations : artistes, écrivains, créateurs de toutes sortes.
Ensuite les photographies de mannequins dans les décors de la ville ou sur le redoutable fond blanc du studio.
Enfin, le troisième volet, les mondanités, est celui qui m'a laissé les souvenirs les plus durables. »