Titres

La petite fille qui avait avalé un nuage grand comme la tour Eiffel

Auteur : Romain Puértolas
Editeur : Dilettante
Date de parution : 07/01/2015
EAN/ISBN : 9782842638122
Format : 21 x 14
Nombre de pages : 252
Thématique : Littérature - Romans et nouvelles

Adhérent : Le Dilettante

Présentation Electre

Par l'auteur de L'extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea

Pour Providence Dupois, la vie, c'est un peu comme la mayonnaise : plus on s'agite et plus on a de chances de la réussir. Alors que la jeune et jolie factrice parisienne s'apprête à partir en Afrique chercher la petite fille qu'elle aime le plus au monde, un volcan islandais se réveille, paralysant l'ensemble du trafic aérien européen. D'aéroport en monastère tibétain, commence alors pour elle le plus haletant et le plus prodigieux des voyages. L'amour donne des ailes. Êtes-vous prêt à vous envoler ?

Si Romain Puértolas s'est fait connaître pour son premier roman, L'extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea (publié dans trente-six pays et en cours d'adaptation cinématographique), c'est aussi grâce à sa méthode peu commune d'écrire à l'aide de son téléphone portable et sur ses vêtements. Il récidive avec ce nouveau roman en partie conçu sous la douche, peut-être par nostalgie de ce temps où il rêvait de devenir plongeur sous-marin pour le commandant Cousteau, métier qu'il n'a jamais exercé, au profit de ceux de DJ, compositeur-interprète, météorologue, professeur de langues, traducteur, steward, nettoyeur de machines à sous, responsable de communication dans le contrôle aérien, lieutenant de police et, désormais, raconteur d'histoires.

« Enfin, un livre drôle quand l'atmosphère est à la sinistrose. Enfin, un roman qu'on peut donner en sachant qu'il illustre parfaitement le vieux slogan : Joie d'offrir, plaisir de recevoir. [...] Ces tribulations à la fois loufoques et édifiantes d'un Indien dans l'Europe de Schengen valent d'abord par la manière follement drôle dont elles sont racontées. Les jeux de mots sont d'un mauvais goût assumé et les provocations, tonitruantes. Tous les pays, toutes les cultures, toutes les communautés en prennent pour leur grade. C'est Voltaire, version Groland. Impossible de ne pas rire à chaque ligne. »
Jérôme Garcin, La Provence


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