Nombreux sont ceux qui auraient
souhaité figurer dans ce livre et
seront déçus de ne pas s'y retrouver.
Les critères de sélection pour intégrer
la famille des «bad boys» sont
sévères. Il faut avoir fait preuve
de constance et de détermination dans
le geste fatal, la provocation, la colère
irrépressible, le tacle «à hauteur
de la carotide», la bagarre à la sortie
d'une boîte de nuit.
La «bad boy attitude» ne s'improvise
pas. C'est un mode de vie, un statut
enviable que quelques sanctions
glanées à la petite semaine
ne permettent pas d'atteindre.