Rue des Maléfices
Chronique secrète d'une ville
Raymond Queneau (il n'était pas le seul) regardait Rue des Maléfices comme le plus grand livre jamais écrit sur Paris. Un livre qui l'empêchait de dormir, car les histoires « vraies » que l'ami Yonnet, connaisseur des plus sombres venelles dé la rive Gauche, raconte dans ces pages (photos de Doisneau à l'appui)ne sont pas de tout repos.
Sentiment d'un autre connaisseur :
« Parmi les livres à commander avant le Paradis : Rue des maléfices de Jacques Yonnet. »
RAPHAËL SORIN