Nous vivons comme si la mort n’existait pas. Or, nier la mort, c’est nier la vie : tel est le propos de Fabrice Hadjadj dans cet essai brillant et étonnamment joyeux sur la grandeur de l’éphémère. philosophe et dramaturge catholique, l’auteur nous incite à choisir entre le refus de l’inconnu et l’ouverture d’esprit qui permet de l’accueillir.