Alors que le sport reste comme fait social total encore largement ignoré par la science politique, l’ouvrage traite des bouleversements qui ont touché le sport et son organisation dans les pays de l’ancien bloc de l’Est depuis 1989 et des conséquences du passage brutal d’un modèle d’organisation dirigiste et centralisé, bénéficiant d’un soutien public massif à un modèle « libéralisé », axé sur la rentabilité économique, dont l’Etat s’est désengagé peu à peu en raison de la crise économique et de la disparition de l’affrontement idéologique entre l’Est et l’Ouest.