L'amour de la littérature est parfois un mobile irrépressible
pour un assassin cultivé et de bon goût. Le commissaire,
par la volonté d'une hiérarchie démagogue, se retrouve
accompagné dans son travail quotidien par Christopher
Plouf, pour parfaire la documentation de cet écrivain à ses
yeux lamentable de romans policiers bon marché. Il va en
effet comprendre de plus près, l'écrivain, ce que c'est
qu'un assassin et ce que c'est qu'une victime, sans que
son oeuvre ait le temps de bénéficier pour autant de ces
nouvelles compétences.