Shakespeare affirmait qu'il y a plus de choses
dans le ciel que dans toute la philosophie.
Le ciel de l'astrophysicien n'est pas moins riche
que le ciel du poète et celui du prophète. Mais il a
quelque chance d'être plus vrai. Dans le ciel
purifié de la physique tel que nous le décrit
l'astrophysicien Michel Cassé, auteur de Du vide
et de la création, tout est intelligible. Mais la
clarté se paie d'un mystère, originel ou final.
Dans les cénacles cosmologiques, la genèse est
en cours de réécriture.