Un voleur se raconte à la
manière du héros de Darien, il
magnifie ses faits et méfaits au nom
de l'idée qu'il a de la vie. Amoral,
imaginatif, épicurien, désinvolte,
aucune loi ne saurait entraver sa
jouissance.
Dit-il la vérité ? Quels secrets cache-t-il derrière le
récit de ses exploits ? Difficile de le savoir !
La mère et le père de cet enfant pas comme les
autres nous livrent aussi leurs versions de ce
parcours ô combien étonnant.
Le roman d'Éric Guillotte est une toile d'araignée.
Impossible de s'en libérer avant la fin. On est de
toutes façons emporté par le déluge d'une écriture
coup de poing.